Dans le cadre de ses "Rencontres", la Galerie Guillaume a reçu Frédérique Bedos. Journaliste, auteure du livre témoignage « La petite fille à la balançoire » (Les Arènes, 2013), Frédérique Bedos a créé en 2009 le Projet Imagine, "un média utile, alternatif et philanthropique, qui met en lumière des héros anonymes, qui aide ceux qui aident." 

A l'occasion de la Nocturne Rive Droite, la Galerie Guillaume présente les maquettes originales des vitraux de la chapelle St Joseph de Reims, dont le thème le plus représentatif est "L'Arbre de vie", motif cher à l'artiste. Entre 2011 et 2015, Jean-Paul Agosti et le célèbre atelier de Maitres Verriers Simon-Marq ont réalisé ensemble ce projet exceptionnel. Lors du vernissage, Jean-François Lagier, directeur du Centre International du Vitrail, dédicacait son dernier livre "Les peintres et le vitrail, Vitraux français contemporains 2000-2015". La Galerie expose également des aquarelles inédites de jean-Paul Agosti. Ces aquarelles, réalisées sur papier Arches, traitent également du thème de la nature et plus particulièrement de l'arbre. 

Dans le cadre des "Rencontres" qu'elle organise avec des personnalités, notamment du monde de l'art, la Galerie Guillaume a reçu Fabrice Hadjadj, écrivain, philosophe et dramaturge. Fabrice Hadjadj collabore avec de nombreux journaux et revues (dont ArtPress, Le Figaro Littéraire, La Vie, Transfuge). Il est l'auteur de pièces de théâtre, d'essais et de livres d'art, et dirige depuis 2012 l'Institut Européen d'Etudes Anthropologiques Philantropos, à Fribourg. 

La Galerie Guillaume a eu le plaisir d'accueillir François Boespflug, historien de l'art et théologien, dans le cadre d'une conférence sur le thème de la Résurrection dans l'oeuvre de François-Xavier de Boissoudy.
A cette occasion, François Boesplug a dédicacé son nouvel ouvrage "Le regard du Christ dans l'art", publié en 2014 aux éditions Desclee de Brouwer.

L’exposition « Résurrection » présente une vingtaine de tableaux : des encres sur papier, dont le jeu en noir et blanc nuancé de couleurs se met au service de la lumière. Ce “clair obscur” fait écho aux oeuvres de Georges de La Tour et des frères Le Nain, peintres qu’admire Boissoudy qui se situe dans une tradition française. Mais l’artiste précise que cette technique de lavis lui est personnelle car il laisse l’eau agir sur le dessin qu’il a tracé, créant des matières et des formes acquises grâce à l’intervention de l’eau, afin, dit-il « de donner une place à un acteur qui n’est pas lui. »